sam. 30 oct. - 20H00
Scalping + Bracco + Lumer + Unschooling + Misere
Post punk / Techno
[Communiqué - 20/10/2021] À 10 jours de l'événement , et au vue du peu de préventes, nous sommes contraints exceptionnellement d'annuler nos concerts du 30 octobre. Cette soirée était un pari, avec 5 groupes sur une grosse amplitude horaire. Financièrement, nous ne pouvons l'assumer si elle ne rencontre pas une adhésion plus importante. Nous remercions les artistes, managers et tourneurs ainsi que les bénévoles pour leur compréhension. Nous rembourserons les spectateurs·rices qui avaient pris leurs places, et espérons pouvoir accueillir ces artistes dès que possible. Merci de votre compréhension également et à très bientôt.
SCALPING (UK)
SCALPING s'est rapidement imposé comme l'un des groupes les plus sensationnels du Royaume-Uni, diffusant au compte-gouttes des doses explosives de techno, de punk et de hardcore dans le monde entier et enflammant les salles et les festivals du Royaume Uni et d'Europe avec une énergie précise et implacable.
BRACCO (FR)
Depuis l’hiver dernier, en s’appuyant sur les talents de Paulie Jan à la réalisation, le duo parisien BRACCO a mis au point une club-music sombre à la fine frontière d’un rock triomphal. Une musique hybride qui se dévoile entièrement lors de lives âpres et furieux, plongeant le public dans un univers sonore déconstruit et redoutablement efficace.
LUMER (UK)
Le quatuor de Hull a su transformer sa frustration dû à l'ennui, en un post punk brillamment frénétique. LUMER joue fort avec une agressivité jubilatoire et un chant rauque et brutal. Après plusieurs tournées au Royaume Uni et un brillant premier album (« The Disappearing Act »), des premières parties de Préoccupations, Autobahn ou Meat Wave, LUMER s'apprête à partir à la conquête de la France.
UNSCHOOLING (FR)
UNSCHOOLING, quatuor fraîchement formé autour de l’axe Rouen/Montréal/Notre-Dame-de-Gravenchon, coche cette case avec panache. Orchestré à la manière des groupes post-Women où la complexité des parties de guitares flirte avec la spontanéité de la musique lofi, le rock faussement mathématique de ces têtes d’ampoule déscolarisées se joue des codes élimés de ce mammouth à dégraisser. Composé d’anciens de MNNQNS et d’autres formations rouennaises, les quatre cancres ont réussi à se construire leur propre CNED autour d'un post-punk tantôt bruitiste, tantôt sensible.
MISERE (FR)
Bercé trop près de Drug Church, Idles ou encore Frank Carter & The Rattlesnakes, MISERE délivre un cocktail sans shaker de mélodies expérimentales survolant une rythmique puissante et efficace au service de textes mélancoliques qui fleurent bon les pubs de Brighton. Paradoxal et captivant, du post punk qui vient des tripes.