Howlin' Jaws
garage rock / Paris
Au croisement des riffs garage et de la musique psychédélique on trouve les Beatles, les Beach Boys, les Kinks, les Small Faces... du beau monde pas né de la dernière pluie en somme. Bien que parés de jeans pattes d’eph’ et de coupes de cheveux anachroniques, on y trouve aussi les jeunôts de Howlin’ Jaws. C’est leur deuxième opus, aux guitares qui sonnent comme des sitars et aux voix passées à la cabine Leslie qui ne sont pas sans évoquer le Sgt Pepper des petits gars de Liverpool cités plus haut, que viendront défendre le fab’ three du gai Paree.
Bon Enfant
Bon Enfant proposent une musique fantasmagorique, dont il est suggéré de s’imprégner une fleur dans les cheveux et une épée à la main.
On trouve dans la musique de Bon Enfant du disco naïf et emprunté, du hard et du glam rock, de la pop nippone et de la folk pastoral, en esquivant le pastiche toujours, pour façonner un rock québ perméable et ouvert. L’écriture va, large et orfévrée, dans un sens; les arrangements, dans un autre : un clash exploité qui ouvre encore plus de portes.
